La crise sanitaire régnant à travers l’Europe continue d’impacter les marchés financiers. En Allemagne, par exemple, les nouveaux cas ne cessent de monter en flèche et finissent même par atteindre leur sommet. Tandis que dans l’Hexagone, les dirigeants misent sur les restrictions.

Les marchés ont encore affaire à la diminution persistante des valeurs chinoise. Reuters évoque également une éventuelle privation de cotation en bourse de certains groupes géants qui sont spécialisés dans les hautes technologies.

En ce qui concerne le pétrole, les actionnaires ne sont pas à l’abri des pertes qui sont dues aux soucis liés de près à la crise sanitaire frappant le monde. Elle risque d’entraîner une diminution importante des demandes venant d’Europe. Il ne faut pas non plus négliger le problème d’accès au transport aérien et au tourisme. Quelques jours suivant sa fermeture, le Brent et le WTI ont pu atteindre une légère reprise de 6%. Pour ce qui est de leurs valeurs, ils sont limités respectivement à $ 62,05 et $ 58,47.

Les fonds spéculatifs n’ont pu vendre leurs positions agricoles que pendant environ 1 mois. L’attente devient ainsi de plus en plus longue, selon Peak Research. Ce dernier constate même des tendances négatives de prix pour les six semaines à venir.