Un domaine souffrant des conséquences de la baisse du pétrole et du coronavirus
La baisse concerne presque toutes les matières premières, pour ne citer que le cuivre, le nickel, le plomb, le maïs, le colza, le sucre et l’huile de palme. L’or reste ainsi le seul suscitant l’intérêt des investisseurs.
L’or noir connaît une hausse. Alors que l’or jaune continue à survivre. Ce début d’année est alors marqué par des phénomènes assez négatifs. Le coronavirus surgit pour la première fois à Hubei, au centre de la Chine, avant d’envahir le reste du monde, tout en attaquant presque tous les domaines, y compris les matières premières. Ce problème ne vient pas seul, mais s’accompagne de la baisse importante du pétrole.
Les derniers chiffres constituent une preuve irréfutable de cette chute. Le lundi 9 mars, une perte de 25% de la valeur du baril a été constatée. Le choc concerne alors aussi bien les marchés actions que les cours des matières premières. Selon Benjamin Louvet, expert des matières premières chez OFI AM, le recul se constate partout : une perte de 2,5% concernant le cuivre, une baisse de 3% pour le plomb et un recul de 1,5% pour le nickel. Les matières premières agricoles ne sont pas non plus à l’abri de cette situation négative.